Martinique
jeudi 20 décembre 2012
Beach, please.
ATTENTION, LA VUE DE CET ARTICLE POURRAIT REVEILLEZ UN MANQUE SI VOUS AVEZ DEJA MIS LES PIEDS AUX ANTILLES. CELUI-CI NE POURRAIT SE SOIGNER QUE PAR UN BILLET D'AVION ALLER SIMPLE A DESTINATION DE FORT-DE-FRANCE. SOYEZ VIGILANTS /!\
Carnival time !
Le carnaval de Martinique ne se termine pas le Mardi gras comme le veut normalement le calendrier catholique mais se déroule jusqu'au lendemain, le Mercredi des cendres. L'imposition des cendres ne se fait donc pas le mercredi, pour cause de fête, mais le vendredi qui suit. La mi-carême n'est pas célébrée.
Le carnaval de la Martinique est né de la rencontre des cultures européennes et africaines durant la colonisation Il a connu son heure de gloire à la fin du XIXe siècle.En 1902, l'éruption de la montagne Pelée détruisit la ville de Saint-Pierre. 30 000 habitants périrent, mais la tradition du carnaval se perpétua à Fort-de-France. Les festivités du « mercredi des cendres », typiquement martiniquaises se retrouvent aussi en Guadeloupe et en Guyane.
Il ne faut pas s'étonner de voir des obscénités dans le carnaval martiniquais qui est ouvert à tous et qui encourage la spontanéité. Les malpropres sont des personnages incontournables des jours gras et les chansons grivoises sont légion. Le carnaval ne peut se faire sans les vieilles voitures, automobiles arrangées pour la période, parfois taguées ou couvertes de photos. Sur le toit on peut y voir une baignoire, un bwabwa (personnage à l'effigie d'un homme politique ou d'une célébrité) ou des personnes. À cause d'incidents, les voitures doivent désormais être contrôlées. Chaque année les travestis et personnages les plus traditionnels (Neg Gwo Siwo, Mariane Lapofig, Caroline Zié Loli, Medsen Lopital) ressortent dans les rues. Les personnes qui se contentent de regarder le carnaval sont péjorativement appelés cocofiolo par les vidéyeurs qui suivent les chars et les groupes à pieds.
Le carnaval de la Martinique est né de la rencontre des cultures européennes et africaines durant la colonisation Il a connu son heure de gloire à la fin du XIXe siècle.En 1902, l'éruption de la montagne Pelée détruisit la ville de Saint-Pierre. 30 000 habitants périrent, mais la tradition du carnaval se perpétua à Fort-de-France. Les festivités du « mercredi des cendres », typiquement martiniquaises se retrouvent aussi en Guadeloupe et en Guyane.
Il ne faut pas s'étonner de voir des obscénités dans le carnaval martiniquais qui est ouvert à tous et qui encourage la spontanéité. Les malpropres sont des personnages incontournables des jours gras et les chansons grivoises sont légion. Le carnaval ne peut se faire sans les vieilles voitures, automobiles arrangées pour la période, parfois taguées ou couvertes de photos. Sur le toit on peut y voir une baignoire, un bwabwa (personnage à l'effigie d'un homme politique ou d'une célébrité) ou des personnes. À cause d'incidents, les voitures doivent désormais être contrôlées. Chaque année les travestis et personnages les plus traditionnels (Neg Gwo Siwo, Mariane Lapofig, Caroline Zié Loli, Medsen Lopital) ressortent dans les rues. Les personnes qui se contentent de regarder le carnaval sont péjorativement appelés cocofiolo par les vidéyeurs qui suivent les chars et les groupes à pieds.
mercredi 19 décembre 2012
La martiniquaise
La martiniquaise, reconnu dans le monde pour sa beauté fatale... Il existe plusieurs types de martiniquaises... Un peu de vocabulaire antillais pour les définir...
Il y a les mûlatres, métisse d'un parent européen et d'un parent afro-martiniquais.
Il y a les coolie, métissée afro et indienne (d'Inde)
Il y a les chabines, se sont des femmes, typée métisses, mais qui n'ont pas forcement un parent blanc, aux cheveux clairs (roux, blond, chatain,...), à la peau claire (blanche ou légèrement bronzée), mais aux cheveux crépus et avec des traits du visage typique africain.
Il y a les zoréy, femmes blanches, européennes, mais rare sont les blanches vivant en Martinique qui descendent de colons, se sont souvent des métropolitains qui sont venus s'installer.
Il y a aussi une minorité asiatique (vietnamienne et chinoise la plupart du temps) et libanaise, parfois même syrienne, qui sont des marchands ou des réfugiés politique ! Il y a aussi des guadeloupéennes, sainte luciennes, barbadiennes, qui s'installent en Martinique.
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